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I usually do not post on this account unless I am posting a larger post, but I am hyperfixating on a game called DiRT 3.
DiRT 3 was made in 2011 for the Xbox 360, Ps3 and PC by codemasters and it was removed off of steam in 2017 presumably to expired car licenses. And codemasters was acquired by none other than EA in 2021.
I got reminded that i had the game by a song that sounded similar to the DiRT 3 OST and so I listened to the DiRT 3 OST on spotify and I just fucking had to play it again, that was yesterday, or technically two days ago, it is fucking midnight but I must rave on about this fucking game, and today or technically yesterday I got the steam key as I wanted to play it with Jolly and Beeeq.
a game that has been out for over a decade, removed off steam, has players in 2023. I mean people talk about how DiRT 2 was great and how DiRT 4 and DiRT 5 suck ass which to my knowledge do. but holy shit. And this shit does not look like a fucking Ps3 game I mean it's litearly fucking better than the sequels? it's 6GB and the complete edition was like 2,50€ something on G2A I saw in Google you can get it for free but my fucking download paranoia says eat pant and so getting the steam key was the best option.
rant over~
Ou quand la magie des Studios Ghibli s’invite dans nos consoles.
Il faut dire que quand un studio d’une telle renommée prête son talent a un jeu réalisé par Level 5 (Dragon Quest VII, professeur Layton, Rogue Galaxy… pas ce qu’on pourrait appeler des débutants dans le cell shading !), on s’attend a du beau, du grand, du fun. Ici, pas de héros à la psychologie torturée, d’intrigue complexe ou de choix cornéliens. Nous sommes dans l’univers Ghibli, où l’on goute à la beauté simple d’un retour en enfance, et où on se balade naïvement, un sourire aux lèvres.
Dès les premières minutes, le jeu plonge nous plonge dans l’univers promis : design, couleurs, animation, thème, personnages, tout respire la fraicheur propre au studio. Rapidement, les éléments de l’histoire se mettent en place : Oliver vit seul avec sa mère dans une petite ville moderne. Son meilleur ami et lui sont passionnés d’automobile et planifient, cette nuit, d’essayer le prototype sur lequel ils ont si durement travaillé ! Bien entendu, cela ne se passe pas comme prévu, et Oliver se retrouve a patauger dans les courants de la rivière voisine. Folle d’inquiétude de ne pas trouver son fils adoré dans sa chambre, la mère d’Oliver part à sa recherche à travers la ville. Apres s’être porté au secours du jeune garçon, celle-ci est victime d’une attaque cardiaque. On apprend que, de constitution faible, celle-ci a sans doute trop forcé cette fois-ci.
Quelques heures plus tard, « Ka-San » décède devant son fils.
Déprimé au-delà de toute description, Oliver ne mange plus, et passe ses journées à pleurer dans sa chambre, serrant contre lui la peluche que sa mère bien aimée lui a confectionnée quelques mois auparavant. Ladite peluche se révèle être une sorte de fée nommée Lumi, un être venant de L’Autre Monde (Ni No Kuni en VO). Une fois le choc passé, celui-ci explique à Oliver son problème.
Une entité maléfique nommé Shadar frappe les habitants de l’autre monde de divers maux. En leur volant une partie de leur cœur, il supprime une de leurs qualités fondamentales (Courage, Gentillesse, etc…). Le problème, c’est que Shadar menace non seulement l’autre monde, mais aussi celui d’Oliver. En effet, les habitants des deux mondes sont liés : chaque habitant d’un monde possède une âme sœur très semblable physiquement, également impactée, dans l’autre. Un effet miroir qui fait dire à Lumi que si la mère d’Oliver est décédée, cela veut sans doute dire qu’il est arrivé quelque chose de grave a son âme sœur.
En effet, il s’avère que son âme sœur est une Grande Sage, une magicienne puissante qui a tenté de confronter Shadar, et qui a vu son âme emprisonné par l’être maléfique. Décidé à tout tenter pour ramener sa mère, c’est ainsi qu’Oliver s’engage sur la voie de Magicien ainsi que dans le monde fantastique de Ni No Kuni !
Le voyage initiatique d’Oliver lui fera rencontrer de nouveaux alliés, et verra ses pouvoirs magiques grandir au fur et à mesure qu’il ajoutera de nouvelles pages à son grimoire. Le grimoire est en effet un point central du jeu. Partie intégrante de l’attirail de magicien, avec la baguette et une précieuse fiole magique, l’antique livre regroupe pas mal d’informations sur l’univers du jeu, et bien que quelques pages soient présentes dès le début de l’aventure, celui-ci se remplira au fur et à mesure de la progression du personnage.
Le système de combat en temps réel est assez dynamique sans tomber dans l’excès d’action, il contient en effet un aspect stratégique centré sur le positionnement, le blocage et l’esquive des coups adverses. On contrôle un des personnages mis en scène dans le combat, les autres suivant une stratégie basique (« Donne tout », « garde nous en vie », « reste en arrière », etc… »). Rapidement, Oliver (et ses alliés par la suite) ont la possibilité d’invoquer des créatures pour prendre leur place au combat. Dans un format similaire à Pokémon, il est possible de capturer ces créature, de les élever (via le combat mais aussi en leur donnant à manger) et de les faire évoluer. Rien de totalement innovant donc, mais l’ensemble reste joliment adapté à l’univers du jeu. Le jeu utilise aussi l’alchimie pour fabriquer de nouveaux objets, ainsi que le transfert de « morceaux de cœurs » pour guérir les cœurs brisés, la plupart du temps utilisé pour la progression du scénario.
Ni No Kuni est un jeu auquel j’ai longtemps voulu jouer. Je ne suis pas un fan inconditionnel de Ghibli, je ne suis pas un fervent joueur des RPG made in Level5 (je n’ai pas fini Dragon Quest 8 ou Dark Chronicles…), mais cette bouffée d’air frais dans l’ambiance lourde des RPG occidentaux actuels (Dragon Age, The Witcher, Skyrim, Fallout ec…) est vraiment bienvenue. Dans l’impossibilité de mettre la main sur la version DS lors de sa sortie (avec le grimoire EN VRAI !), voir le titre arriver sur console de salon a été une très bonne surprise !
Un petit bémol est cependant à porter du côté de la difficulté. Je ne m’attendais pas forcément a un challenge insurmontable, mais les phases « d’enquêtes » sont assez faciles (les fameux mots clés des phrases écris en gras, soulignés et en rouge…). Les combats sont eux assez équilibrés : nul besoin de grinding abusif pour aller affronter les divers boss du jeu, mais y aller tête baissée vous vaudra un Game Over à coup sûr!
Ni No Kuni est donc un jeu que je suggère fortement a tous ceux qui recherchent un peu de fraicheur dans un RPG classique dans sa structure et son gameplay, challengeant sans être hardcore, mais également frais par son design et son ambiance !
I've been a gamer since I was a young child and my parents never really cared what games I played so my childhood games were Little Big Planet (1, 2, and 3), Minecraft, Skyrim, Resident Evil 6, Resident Evil Revelation 2, Resident Evil 5, and Fallout 3. I also played Until Dawn at like 12 years old. All very appropriate games for a child under 14 to play.
My inbox is empty. Got no asks or submissions. Got no idea what to do with this account. I really do want this account to work out, but unfortunately it's not entirely in my power. .... I'll try and come up with some events or crossover art or something to do to drum up business, but in the end, it's not my call if I get asks. So please ask my muses questions!
Hands u tiny James Sunderland while I impatiently wait for more SH2R news